Faut-il être outré de tout ?

Grande question que celle-ci...

L'exemple le plus récent est celui du jour, le fameux "mariage du siècle" ! Rude pour quiconque est un minimum impliqué dans des œuvres humanitaires de se rendre compte du gaspillage d'un tel évènement ! Imaginez, selon diverses sources, la robe seule de la mariée aurait coûté au minimum 30 000 euros... et jusque 200 000 euros... et je ne parle pas de la fiabilité des médias incriminés ayant relayé cette information. L'évènement ayant été déclaré jour férié aurait coûté plus de 6 milliards d'euros. Impressionnant pour un mariage ! Bien sûr il en va de même des championnats du monde de football de 1998, un "gaspillage à la française" titrait alors le Science et vie de l'époque !

bien sûr qu'il y a des raisons de se sentir mal face à un tel affichage ostentatoire de richesses... Alors il nous reste le choix de nous indigner de ce genre d'évènements... ou de vivre avec. Mais où est le troisième choix ? Celui du consensus qui permettrait de concilier et l'image d'un peuple, d'une nation riche en traditions, et les finances publiques. Ce choix ne peut être un choix individuel, mais doit reposer sur un choix universellement consenti consistant à rationnaliser les décisions. Ce choix est celui de l'engagement de tout un peuple dans l'union et dans la durée. Ce choix passe par la refonte de tout un système politique obsolète et engoncé dans des querelles de partis. un travail de longue haleine !

Peut-être une piste : www.polethique.fr

Comments

[Jacques Brillot]

Bizarre, Bizarre,
Je reçois un envoi de confirmation, or le commentaire : OPINIONS entre NOVO et CORRECTION semble être passé à la trappe. C'est sans doute par mon ignorance en informatique. J.B.

[Jacques Brillot]

A la deuxième ligne, il convient de lire "reste" et non pas "rets".
Avec mes excuses. J.B.

[Jacques Brillot]

Avec cet appel au "sens commun" qui va dans le sens de "l'intérêt général", il ne vous rets plus qu'à faire appel au SPECTATEUR IMPARTIAL de Raymond Boudon. Alors, ensemble, vous vous rapprocherez de la Démocratie, pas celle que nous proclamons sans l'approcher, mais plutôt le mode de gouvernement dont ce Monsieur prône le RENOUVELLEMENT
A disposition. Jacques Brillot